La gynécologie
Gynécologie à Caen : Prendre soin de sa santé en tant que femme
Consultations, dépistage et suivi gynécologique personnalisé
Prévenir, diagnostiquer et traiter : le rôle essentiel de la gynécologie
Qu'est-ce que la gynécologie ?
La gynécologie est un domaine médical spécialisé dans la santé des femmes.
Le Docteur Maria Mandon est le médecin référent, chez Intime Care, pour tout ce qui concerne l’appareil génital féminin.
Elle intervient auprès de ses patientes, des premières règles à la ménopause.
Elle assure :
- Un suivi régulier de sa patientèle,
- La réalisation d’examens de dépistage,
- La prise en charge d’éventuelles pathologies.
Bien que le Pôle de Santé Intime Care se diversifie au niveau des prises en charge, le Docteur Mandon garde sa patientèle actuelle en gynécologie.
La prise en charge de nouvelles patientes, quels que soient leurs besoins, est tout à fait envisageable.
Pour prendre rendez-vous
La prise de rendez-vous se fait via la plateforme Doctolib.
- Si vous êtes déjà patiente du Docteur Mandon en gynécologie, sélectionnez l’onglet “Suivi Gynécologique”
- Si vous n’êtes pas encore patiente du Docteur Mandon en gynécologie, mais que vous souhaitez le devenir, sélectionnez l’onglet “Nouvelle Patiente en Gynécologie”
- Pour tous les autres cas, choisissez l’onglet “ Consultation Bilan Care”
La première consultation permettra de faire le bilan de la pathologie et d’évaluer le protocole de soin, le plus adapté à vos besoins.
Le rôle d’une gynécologue dans la vie d'une femme.
Le Docteur Mandon couvre une large offre de soins allant :
- De la prévention à la gestion des problèmes de santé,
- En passant par le suivi des grossesses,
- Et par des prises en charge de pathologies spécifiques.
Être suivie, en tant que femme, par une gynécologue-obstétricienne, c’est un peu comme avoir un médecin traitant, orienté vers la santé féminine.
Et bénéficier d’un accompagnement longue durée.
Les consultations gynécologiques
Comment appréhender la première consultation de suivi gynécologique ?
La première consultation gynécologique peut sembler intimidante.
Elle est néanmoins importante, pour établir une relation de confiance avec le Docteur Mandon.
C’est un moment privilégié pour parler de sa santé et prendre soin de soi.
Les différentes étapes de la consultation :
L’entretien :
- L’historique médical : Quels sont les antécédents médicaux personnels et familiaux de la patiente (règles, grossesses, maladies, allergies, etc.).
- La vie sexuelle : Le sujet est abordé avec discrétion et bienveillance pour échanger sur les méthodes contraceptives, les infections sexuellement transmissibles (IST) et la sexualité de manière générale.
- Les antécédents gynécologiques : Y a-t-il déjà eu des problèmes gynécologiques ? Des opérations ? Ou bien un traitement particulier ?
Ce qu’il faut apporter :
- La carte vitale : Pour les formalités administratives.
- La liste des médicaments : Si la patiente en prend, il est conseillé d’apporter la liste complète.
- Les questions : La patiente pourra exprimer librement ses interrogations ou ses doutes.
L’examen clinique (non systématique) :
- L’examen des seins : Palpation des seins, pour détecter d’éventuelles anomalies.
- L’examen pelvien : Examen interne, pour vérifier l’utérus, les ovaires et le col de l’utérus. Cet examen est réalisé uniquement sur indication et avec le consentement de la patiente.
Ce que l’on peut attendre de cette consultation :
- Un bilan de santé complet : Le Docteur Mandon évaluera l’état de santé général de la patiente et prodiguera des conseils personnalisés.
- Un suivi adapté : Le Docteur Mandon proposera un suivi sur mesure, en fonction des besoins et de l’âge.
L’importance des consultations régulières
Les consultations gynécologiques régulières sont un véritable bouclier protecteur pour la santé des femmes.
Grâce à elles, le Docteur Mandon, peut détecter les premiers signes d’une problématique, X, Y, à un stade précoce (souvent, avant même que les patientes ressentent les symptômes).
Par exemple :
Le dépistage régulier du cancer du col de l’utérus, permet de réduire de plus de 90 % le risque de développer cette maladie.
Voici les différents types de consultations gynécologiques :
- Consultation de santé sexuelle : Évaluation des besoins et des préoccupations en matière de santé sexuelle.
- Suivi de contraception : Options contraceptives et conseils appropriés.
- Suivi de grossesse : Accompagnement tout au long de la grossesse, y compris les échographies.
- Consultation post-partum : Suivi des suites de l’accouchement pour évaluer la santé physique et émotionnelle.
- Dépistage du cancer : Examens pour détecter le cancer du sein, de l’utérus, du col de l’utérus et des ovaires.
- Suivi de la ménopause : Gestion des symptômes et des préoccupations liés à la ménopause.
- Évaluation des troubles menstruels : Diagnostics et traitements des irrégularités menstruelles.
- Consultation pour endométriose : Prise en charge des symptômes et suivi de cette pathologie.
- Colposcopie : Examen approfondi du col de l’utérus, en cas d’anomalies détectées.
Les examens gynécologiques
Le frottis : à quoi sert-il ?
Le frottis : Le frottis cervical est un examen de dépistage, destiné à détecter des anomalies cellulaires au niveau du col de l’utérus. Il est aujourd’hui couplé au dépistage HPV, après 30 ans, pour prévenir le développement du cancer du col de l’utérus.
L'échographie : quels sont les différents types d'échographies ?
- L’échographie : L’échographie est un examen d’imagerie médicale qui utilise des ultrasons pour visualiser les organes internes. En gynécologie, elle permet d’observer l’utérus, les ovaires et les trompes.
- L’échographie endovaginale : Une sonde est introduite dans le vagin pour obtenir des images plus précises des organes pelviens. (Utérus, ovaires, trompes de Fallope, col de l’utérus)
- L’échographie abdominale : La sonde est placée sur le ventre. Elle est plus adaptée pour visualiser l’utérus dans son ensemble et les ovaires.
- L’échographie Doppler : Cet examen permet d’évaluer le flux sanguin dans les vaisseaux sanguins des organes pelviens.
La colposcopie : quand est-elle pratiquée ?
- La colposcopie : La colposcopie est un examen médical qui permet d’examiner de plus près le col de l’utérus. Cet examen est recommandé suite à des résultats anormaux lors d’un frottis.
Comment se déroule une colposcopie ?
- La colposcopie est un examen simple et souvent indolore. La patiente est allongée sur une table d’examen gynécologique. Le Docteur Mandon introduit un spéculum dans le vagin pour écarter les parois vaginales et visualiser le col de l’utérus. Un appareil appelé colposcope, équipé d’une lumière et de lentilles grossissantes, est ensuite utilisé pour examiner de près la surface du col.
- Au cours de l’examen, le médecin peut prélever de petits échantillons de tissu (biopsies) après application de réactifs, pour que les médecins anatomo-pathologistes puissent les examiner au microscope. Cette procédure est généralement bien tolérée, mais peut entraîner une légère gêne.
Prendre rdv
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La première consultation permettra de faire le bilan de la pathologie et d’évaluer le protocole de soin, le plus adapté à vos besoins.
Les traitements gynécologiques
La contraception : Tour d’horizon des différentes méthodes.
La contraception est l’ensemble des méthodes utilisées pour éviter une grossesse.
Il existe une grande variété de méthodes contraceptives.
Chacune possède ses avantages et inconvénients.
Le choix de la méthode contraceptive dépend de nombreux facteurs, tels que :
- L’âge,
- La santé,
- La consommation de tabac,
- Le désir d’avoir, ou non, des enfants à l’avenir, etc.
Les méthodes hormonales
- La pilule contraceptive : C’est la méthode contraceptive hormonale la plus couramment utilisée. Elle peut contenir des progestatifs et/ou des oestrogènes, qui empêchent l’ovulation.
- Le patch contraceptif : Il s’agit d’un adhésif à appliquer sur la peau qui libère des hormones.
- L’anneau vaginal : C’est un petit anneau flexible à insérer dans le vagin qui libère des hormones.
- L’implant contraceptif : C’est une petite tige insérée sous la peau du bras qui libère une hormone pendant 3 ans.
- Les injections contraceptives : C’est une injection intramusculaire d’une hormone progestative qui protège contre la grossesse durant quelques mois. (Indications spécifiques).
Méthodes non hormonales
- Les préservatifs masculin et féminin : Ce sont les seules méthodes contraceptives qui protègent également contre les infections sexuellement transmissibles (IST).
- Le stérilet ou DIU (dispositif intra-utérin) : C’est un petit dispositif en forme de T, inséré dans l’utérus. Il existe des DIU au cuivre (non hormonaux) et des DIU hormonaux.
- Le diaphragme : C’est une coupelle en silicone que l’on place dans le vagin avant les rapports sexuels.
- Les spermicides : Ce sont des produits chimiques qui tuent les spermatozoïdes.
Le traitement des infections sexuellement transmissibles.
Les infections sexuellement transmissibles (IST) sont un sujet important de santé publique.
Le traitement des IST dépend du type d’infection.
Il est essentiel de consulter, dès l’apparition de symptômes suspects ou de rapports à risque.
Le traitement des IST varie en fonction de l’agent infectieux en cause.
Voici un aperçu des traitements les plus courants :
Les bactéries :
- Chlamydia, gonorrhée : Ces infections sont généralement traitées par des antibiotiques, souvent par une dose unique.
- Syphilis : Le traitement repose également sur des antibiotiques, mais le protocole peut varier en fonction du stade de la maladie.
Les virus :
L’herpès génital : Il n’existe pas de traitement curatif pour l’herpès.
Les médicaments antiviraux permettent de réduire la fréquence et la sévérité des poussées.
Un des protocoles Intime Care, avec le dispositif médical ATP38, permet :
- De faire disparaître l’éruption.
- Une cicatrisation dès les 1ᵉˢ symptômes
- (L’ATP38 traite également l’herpès du visage)
- Le VIH : Le VIH est traité par une combinaison de médicaments antirétroviraux qui permettent de contrôler la réplication du virus et de renforcer le système immunitaire.
- L’ HPV (virus du papillome humain) : L’HPV peut provoquer des verrues génitales et certains types de cancer. Il n’existe pas de traitement antiviral spécifique, mais les lésions peuvent être traitées au Pôle de Santé Intime Care.
Les parasites :
- Trichomonase : Cette infection est traitée par des médicaments antiparasitaires.
Il est important de noter que :
- Le traitement doit être adapté à chaque cas,
- Le traitement doit être suivi à la lettre,
- Il est essentiel de traiter tous les partenaires sexuels.
Les complications possibles si une IST n’est pas traitée :
- Stérilité,
- Grossesse extra-utérine,
- Cancer,
- Transmission à d’autres personnes.
La prévention des IST :
- Utilisation du préservatif,
- Vaccination,
- Dépistage régulier.
La ménopause : traitements hormonaux et non hormonaux.
La ménopause est une étape naturelle définitive de la vie d’une femme c’est l’arrêt du fonctionnement ovarien. Elle se manifeste par l’arrêt des règles et des modifications hormonales importantes.
Les symptômes associés à la ménopause peuvent être très variables d’une femme à l’autre et peuvent nécessiter un traitement.
Comme pour la contraception, ces traitements peuvent être avec ou sans hormones.
Les traitements hormonaux de la ménopause (THM)
Le Traitement Hormonal de la Ménopause (THM) consiste à remplacer les hormones manquantes (œstrogènes et progestérone) pour soulager les symptômes.
Le THM est indiqué dans un grand nombre de cas et particulièrement en cas de symptômes très gênants de la ménopause.
Il est prescrit :
- Initialement pour la réduction des troubles du climatère (bouffées de chaleur) en lien avec la carence oestrogénique,
- Mais également pour :
- Améliorer la qualité de vie des femmes ménopausées et leur bien-être,
- Prévenir du vieillissement prématuré de la peau et des muqueuses,
- Lutter contre les troubles de l’humeur et le “brouillard cérébral”,
- Prévenir les risques d’ostéoporose et des douleurs articulaires,
- Amélioration du profil lipidique des patientes,
- Lutter contre le risque cardio-vasculaire,
- Favoriser un sommeil de qualité.
Les traitements non hormonaux de la ménopause
En complément ou en alternative au THM, de nombreux traitements non hormonaux existent pour soulager les symptômes de la ménopause.
- Phytothérapie : Certaines plantes comme le soja, le millepertuis ou la sauge peuvent aider à réduire les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes.
Le Pôle de Santé Intime Care propose une gamme de soins dédiés à la gynécologie et plus particulièrement à la ménopause.
- Homéopathie : L’homéopathie propose des traitements personnalisés pour soulager les différents symptômes de la ménopause.
Le protocole Eva et Dafné : pour le bien-être intime des femmes ménopausées.
Les pathologies féminines courantes
Les kystes ovariens
Un kyste ovarien est une poche remplie de liquide qui se forme dans l’ovaire.
La plupart des kystes sont dits fonctionnels – donc bénins – (non cancéreux) et le corps les élimine naturellement.
Quelles sont les causes ?
Les causes exactes des kystes ovariens ne sont pas toujours connues, mais ils sont souvent liés au cycle menstruel.
Ils apparaissent lorsqu’un follicule – qui est une petite poche dans l’ovaire censée libérer un ovule chaque mois – ne parvient pas à s’ouvrir.
Cette petite poche va donc se remplir de liquide et va former un kyste.
Quels sont les symptômes ?
La plupart des kystes ovariens ne provoquent aucun symptôme. Cependant, certains peuvent causer :
- Des douleurs pelviennes,
- Des ballonnements,
- Des saignements menstruels abondants ou irréguliers,
- Des douleurs lors des rapports sexuels,
- Une sensation de pesanteur dans le bas-ventre.
Comment sont-ils diagnostiqués ?
Le diagnostic se fait généralement par échographie pelvienne.
D’autres examens peuvent être nécessaires pour compléter le bilan, comme une prise de sang ou une IRM, en fonction des symptômes et des résultats de l’échographie.
Quel est le traitement ?
Dans la plupart des cas, les kystes ovariens disparaissent d’eux-mêmes et ne nécessitent aucun traitement.
Cependant, si les kystes sont volumineux, douloureux ou s’ils ne disparaissent pas, un traitement peut être envisagé, comme :
La chirurgie : Si les kystes sont très gros, s’ils ne disparaissent pas ou s’ils provoquent des complications, une intervention chirurgicale peut être nécessaire.
Les fibromes utérins
Un fibrome utérin est une tumeur bénigne qui se développe dans le muscle de l’utérus.
Ils sont très fréquents et affectent la majorité des femmes à un moment donné de leur vie.
Quelles sont les causes ?
Les causes exactes des fibromes sont encore mal comprises, mais les hormones féminines jouent un rôle important dans leur développement.
Quels sont les symptômes ?
Les fibromes peuvent être asymptomatiques ou provoquer différents symptômes, tels que :
- Des saignements abondants ou irréguliers,
- Des douleurs pelviennes,
- Une sensation de pression dans le bas-ventre,
- Des difficultés à uriner ou à avoir des selles,
- Une infertilité…
Comment sont-ils diagnostiqués ?
Le diagnostic se fait généralement par échographie pelvienne.
D’autres examens peuvent être nécessaires, comme une hystéroscopie (procédure médicale qui permet d’examiner l’intérieur de l’utérus) ou une IRM.
Quel est le traitement ?
Le traitement dépend de la taille des fibromes, de leur localisation et des symptômes qu’ils provoquent.
Les options thérapeutiques comprennent :
- Le traitement médical : Les médicaments peuvent aider à réduire la taille des fibromes et à soulager les symptômes.
- L’embolisation utérine : Cette technique consiste à boucher les artères qui alimentent les fibromes, ce qui entraîne leur réduction.
- La chirurgie : Si les fibromes sont volumineux, s’ils provoquent des symptômes importants, ou s’ils entraînent des complications, une intervention chirurgicale peut être nécessaire.
L'endométriose
Découvrir notre protocole de soin adapté à l’endométriose sur notre page dédiée.
Le cancer du col de l'utérus
Découvrir notre protocole de soin adapté à l’HPV sur notre page dédiée.
Prolapsus pelvien de stade 1 et 2 ou béance vaginale
Découvrir notre protocole de soin adapté au prolapsus pelvien sur notre page dédiée.
Grossesse et accouchement
Le suivi de grossesse
Le suivi de grossesse est un ensemble de consultations médicales régulières, qui permettent :
- De vérifier le bon déroulement de la grossesse,
- De détecter d’éventuels problèmes chez la maman ou chez l’enfant à naître,
- De préparer la parturiente à l’accouchement.
Pourquoi est-il nécessaire ?
- Pour surveiller la santé de la mère et de l’enfant : Le suivi permet de détecter et de prendre en charge rapidement d’éventuelles complications.
- Pour la préparation à l’accouchement : Les consultations permettent de répondre aux questions de la future maman, de l’informer sur les différentes étapes de l’accouchement et de l’aider à préparer son projet de naissance.
Comment se déroule le suivi de grossesse ?
Le suivi de grossesse est assuré par le Docteur Maria Mandon.
Les consultations comprennent :
- Des entretiens : Pour discuter de l’évolution de la grossesse, des éventuels symptômes, de l’alimentation, de l’activité physique, de l’état émotionnel de la patiente, etc.
- Un examen clinique : mesure de la tension artérielle de la patiente, palpation de l’utérus.
- Des examens complémentaires : Échographies, prises de sang, etc.
Les différentes étapes du suivi de grossesse :
- La première consultation : Elle a lieu généralement vers la 8ᵉ semaine d’aménorrhée (absence de règles). Elle permet de confirmer la grossesse, de faire une échographie pour confirmer la bonne évolution de la grossesse, d’évaluer les risques, d’établir un calendrier de suivi et de répondre aux questions de la future maman.
- Les consultations mensuelles : À partir du 3ᵉ mois de grossesse, les consultations sont généralement mensuelles. Elles permettent de suivre l’évolution de la grossesse et de détecter d’éventuels problèmes.
Quels sont les examens réalisés pendant le suivi de grossesse ?
- Les échographies : Elles permettent de visualiser le bébé dans l’utérus, de vérifier sa croissance et de détecter d’éventuelles anomalies.
- Les prises de sang : Elles permettent de vérifier le taux d’hormones, de dépister certaines maladies et de contrôler l’état de santé de la future maman.
- Le monitoring fœtal : Cet examen permet de surveiller le rythme cardiaque du bébé et les contractions utérines, mais il est réalisé uniquement sur indications particulières, et non de manière systématique.
Le post-partum
Le post-partum (l’après l’accouchement) est une période de grands changements pour la maman.
C’est une étape :
- D’adaptation avec un nouveau-né,
- De récupération physique.
Qu’est-ce que le post-partum ?
Le post-partum est la période qui s’étend de l’accouchement aux premiers mois après la naissance.
C’est une période de grands changements hormonaux, physiques et émotionnels.
Quels sont les changements physiques ?
- L’utérus : L’utérus se contracte pour revenir à sa taille normale. Ces contractions peuvent être douloureuses.
- Les saignements : Les saignements sont normaux pendant les premières semaines.
- La fatigue : La fatigue est conséquente, due à l’accouchement, aux nuits courtes et au changement de rythme.
Quels sont les changements émotionnels ?
- Le baby-blues : Une forme de dépression brève (3 à 4 jours) du post-partum, qui touche environ 80 % des femmes. Il se manifeste par des sautes d’humeur, de la tristesse, de l’anxiété.
- La dépression post-partum : Plus sévère, touche approximativement 10 % des femmes. Elle nécessite un suivi médical et psychologique rapide.
Comment se préparer au post-partum ?
- Parler : Discuter avec son entourage, son partenaire, sa sage-femme ou son médecin de ses attentes et de ses inquiétudes.
- Se faire aider : Solliciter ou accepter l’aide de son entourage, pour alléger ses tâches du quotidien.
- Prendre soin de soi : Essayer de se reposer, de bien manger, de pratiquer une activité physique douce si possible.
Prévoir une visite post-natale (6 à 8 semaines après l’accouchement)
- Vécu de l’accouchement,
- Début de vie avec bébé,
- Examen du périnée.
Le Docteur Mandon souhaite revoir de façon systématique à 12 semaines la patiente, sans son bébé, pour établir un bilan complet, au niveau :
- Physique,
- Psychologique,
- Examen approfondi du périnée.
Quand consulter ?
Si :
- Une tristesse s’installe,
- Le lien mère-enfant est difficile à mettre en place,
- On a des idées noires pour soi ou son enfant,
- On rencontre de l’anxiété ou des difficultés.
Il est recommandé d’en parler à son médecin ou sa sage-femme.
Concernant le syndrome anxio-dépressif léger, le Pôle de Santé Intime Care propose un protocole de soin dédié avec l’ATP 38 réalise dès la naissance du bébé.
L’approche en gynécologie
au Pôle de Santé Intime Care
- L’écoute et la bienveillance,
- La personnalisation des soins,
- Le choix des technologies utilisées.
Les avantages du Pôle de santé Intime Care
- Une équipe expérimentée,
- Du matériel de pointe,
- Une véritable considération pour l’intégrité et la dignité de la patiente.
Pour prendre rendez-vous
La prise de rendez-vous se fait via la plateforme Doctolib.
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- Si vous n’êtes pas encore patiente du Docteur Mandon en gynécologie, mais que vous souhaitez le devenir, sélectionnez l’onglet “Nouvelle Patiente en Gynécologie”
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